Merci pour ce partage

Très "biodynamique" l'animatrice
Maintenant, soyons réalistes (défaitistes), les idées (dogmes) anthroposophiques diffusent/infusent largement dans les esprits (cerveaux) plus prompts à accepter (gober) pour Vérité, celles de maîtres (Guru farfelus, de mon point de vue bien sûr), spirituels (mais souvent pas rigolos), que de faire l'effort de remettre en question leurs "certitudes" (tiens, c'est valable dans les 2 sens

Passer/basculer en "biodynamie", est-ce un voyage sans retour ?).
Prenons (Hélas !) l'exemple de nos vignerons.
Quelles "raisons", quelle "voie spirituelle", les mènent à pratiquer ces techniques (rites) biodynamiques ?
Il faudrait leur poser la question
D'une manière générale, je pense qu'une kyrielle de personnages convaincus, zélotes, plus ou moins recommandables (allemands/suisses/américains/marchands/anthroposohes...), font preuve ici d'un bel opportunisme (entrisme).
Le fait de s'appuyer (se "légitimer"), reprendre à leur compte, en agriculture, les techniques "bio", est intelligent (certes).
Sur un annuaire en ligne qui recense des domaines cultivés (sacralisés) en biodynamie, l'on peut lire :
De nature traditionnelle, la Bourgogne évolue grâce a des vignerons innovants qui cherchent, osent, changent et recherchent la qualité avant les rendements.
Profession de foi que l'on peut, humainement/philosophiquement, accepter si, dans le cadre du site
https://www.domaine-biodynamie.com/regi ... gne,2.html, il ne s'agissait d'accorder ces qualificatifs élogieux aux pratiquants (adeptes) de la biodynamie
Pour conclure, voici un autre extrait, issu du texte de présentation de l'Anthroposophie sur ce même site, que je laisse à votre réflexion :
Le caractère scientifique de l’anthroposophie repose sur l’exigence d’une approche empirique, même si cet empirisme concerne l’expérience intérieure ; cette dimension intérieure de l’expérience est ce qui la différencie des autres sciences.
Un matérialiste irréductible (m'enfin, la plupart du temps).