Bonjour, ou bonsoir,
ce n'est que des mots pour l'instant, il faudrait écrire les formules du type
i x L(vecteur) vectoriel B(vecteur), = Force de Lapalce,
" ne pas avoir peur de compléter le tout par de belles intégrales et des div(A), rot(B), ..., "
et il faudrait que les sabiens scientifiques apportent des corrections à tout propos erroné.
i = intensité du courant : en ampères.
L = "longueur du courant"
(quand le courant d'électrons passe dans un fil conducteur,
mais quand "il passe" dans l'air ou l'eau, c'est à définir par l'expérience, ...?
d'ailleurs, dans l'eau, y-a-t-il un courant d'électrons entre les électrodes ?
ou des courants d'ions ? ... hydrolyse de l'eau ...?)
B = valeur du champ magnétique.
http://ww2.ac-poitiers.fr/math_sp/IMG/p ... imants.pdf
http://www.sciences.univ-nantes.fr/site ... 4macma.htm
Lorsque l'air est ionisé autour d'un véhicule aérien, (par des radiofréquences : micro-ondes, ...?),
le champ magnétique B (généré par un "très large électro-aimant orientable")
agit directement sur les ions, et non pas sur un courant d'électrons entre d'hypothétiques électrodes...
il n'existe peut-être aucun abaque sur les valeurs des forces générées par le souffle d'air
engendré autour d'un tel véhicule capable de ionisé l'air environnant, et générant un champ
magnétique autour de lui.
Rq : principe et durée de vie des moteurs à plasma actuels :
Le moteur à plasma est basé sur l'utilisation "directe" de l'inertie des ions du plasma : un gaz est injecté, transformé en plasma par au moins une antenne de radiofréquence (le plasma est-il très chaud à ce niveau ?), puis canalisé par des électro-aimants (supraconducteurs), puis chauffé par des antennes cyclotroniques (?) (millions de degrés, 1ère "franche accélération") ce qui permet de s'appuyer sur l'inertie des ions qui sont éjectés en raison de la surpression, puis le plasma est à nouveau accéléré par une bobine à induction (voir une tuyère à induction) qui créent un champ magnétique adéquat, ce qui permet à nouveau de s'appuyer sur l'inertie des ions (" on accélère directement les ions ").
Calcule-t-on tout cela dans les groupes astrophysique ou astronautique ?
Le choc des ions " lourds " sur les pièces mécaniques détruisaient en quelques centaines de jours ces éléments mécaniques ( depuis la zone de ionisation, jusqu'à la tuyère ).
Or dans l'article (lien ci-dessous), les chercheurs ont réussi à externaliser tous le processus (dès la ionisation du gaz). il n'existe quasiment plus d'interactions plasma/surfaces physiques.
Cela augmente d'un facteur 1000 la durée de vie des matériaux, voir bien davantage je suppose.
http://www.science-et-vie.com/2014/11/e ... ma-parois/
(...) Le problème de la durée de vie étant donc en voie de résolution, il reste à faire monter en puissance ces moteurs afin qu’ils puissent développer des poussées de plusieurs dizaines ou centaines de newtons – de quoi mettre Mars à quelques semaines de voyage de la Terre. (...)
(...) Car si l’homme se rend un jours sur Mars, peut-être dans les années 2040, ce sera forcément avec ce type de propulsion. Et pour cause : les moteurs à plasma requièrent beaucoup moins de matière à « consommer » que les moteurs chimiques et donc moins de matière à embarquer à bord – en substance, ce nouveau moteur consomme du Xénon. Mais cela à condition qu’on puisse leur fournir beaucoup d’électricité, par exemple à l’aide d’une mini-centrale nucléaire ou des panneaux solaires à haut rendement. (...)
Rq : développements en cours pour moteurs à plasma permettant d'atteindre Mars en 40 jours.
Mais pour s'arracher à la Terre, il faut encore nos vieux moteurs à combustion "externe" (à propergols),
pour l'instant.
(...) Le problème du confinement magnétique du plasma est également au cœur de problème de la fusion nucléaire, une énergie propre… à condition que le plasma ne détruise pas le réacteur. (...)
il fait nuit tous les jours, par conséquent lampes torches obligatoires.